«Toute nuit noire est une aube qui vient ! », écrivait Edmond Fleg. Keren Esther n’aurait su dire mieux, l’idée de son quatrième album germant dans l’obscurité du premier confinement.
En se plongeant dans l’écriture de ses propres chansons, dans la langue de Molière, la chanteuse a pu renouer avec cette joie ensoleillée qui était la sienne lorsqu’enfant, elle écrivait ses premiers poèmes.
Keren Esther a accueilli cette joie lumineuse comme un cadeau, comme un fruit ! Ainsi est né son quatrième album.